Le cahier
3%20juin%202009
S'il y avait quelque chose entre l'ivresse et les jours de gloire, ça serait sûrement beau. S'il y avait une laisse qui ne me laisse jamais sans sbire, je serais comme un poisson dans le pas d'eau avec quelque chose de quoi s'enfuir. Une raison de se tortiller vers la rivière, de se battre, de vivre.
Alors, j'écris pour éviter que mon âme ne pourrisse et je gratte ma guit pour empêcher mes doigts de suinter de la glue translucide qui les collerait ensemble et y ferait pousser des coquelicots.