Le cahier
24%20juillet%202010
Le vent du Nord évente mon visage, sur cette place ou je pense à mon enfance.
Des millions de marées on moulu mes travers jusqu'à faire de moi un être de pierre lisse.
Où tout glisse, où tout coule en un abysse ;
Un homme invincible que plus rien de menace ; faisant face aux vagues de toutes les mers du monde, sans jamais tomber, sans jamais tituber.
Restant droit dans l'adversité, je garde le courage d'aimer.