Le cahier
5%20octobre%202007
Fourrez dans vos culs vos jeux et votre cinéma que vous mastiquez lubriquement entre deux graines de popcorn. Une nuit noire noie mon âme pendant que vous croisez les bras et je ne peux même pas vous reprocher de ne rien voir. Non. Vous savez. Ça serait bête de votre part de ne pas savoir. Vous le savez et vous le fuyiez.