Le cahier
12%20juin%202010
Un tonnerre qui étouffe tout. Un tonnerre qui transperce tant le tympan qu'il ne reste plus rien à entendre. Un tonnerre qui terrasse tant le coeur qu'il ne reste plus rien à battre. Une lueur qui leurre l'espoir à ne plus rien vouloir. Un mensonge qui d'une main, le revers, balaie tout au monde ce que l'on croyait. Tout au monde ce que l'on, naïf, croyait.